Urbaldi

J'arrivai avec Urbaldi a la ballade prevue en recompense après le saut
Je lachai les renes et le laissai aller a sa guise
Puis lorsqu'un champ s'offrait a nous je talonna Urbaldi et le mit au trot
Puis je le mit au petit galop et je lachai de nouveau les renes, URbaldi accelera.
Je regardai alors ma montre
18 h 40
-Oups !
Je repris les renes et remis Urbaldi au trot
Je lui fis faire une volte renversée et je rerpis le chemin de l'ecurie
Nous arrivâmes a l'ecurie
Je decendit et amenai Urbaldi a son box

Admin Nombre de messages : 314 Age : 32 Date d'inscription : 13/10/2006

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Nombre de messages : 63 Age : 35 Date d'inscription : 23/10/2006

J'arrivai à la lisière de la forêt, je montai sur Urbaldi. Il ne bougea pas, tranquille.

"On va faire un trotting aujourd'hui, ça te va?"

Bien sûr que non ça n'allait pas lui aller, qui aimerait courir pendant une heure avec quelqu'un sur le dos? Personne! Mais le pauvre cheval n'avait pas le choix.. Il fallait entrainer sa condition physique.
Je le fis marcher au pas, pour qu'il se 'dérouille' les jambes pendant les dix premières minutes. En même temps, je jouais avec mes doigts sur les rênes afin qu'il cède et travaille son dos, j'agissai bien évidemment aussi avec mes jambes. Puis nous passâmes au trot, j'étais au trot enlevé, je le laissai s'installer dans sa cadence, ni trop lente ni trop rapide, à son rythme. Et nous trottâmes comme celà pendant une quinzaine de minutes. Il était sur la main et en impulsion, il travaillait donc aussi son dos. Il commença à souffler, je repassai au pas quelque minutes afin qu'il récupère. Puis, je le remis au trot. Je veillai de temps en temps à changer de pied pour ne pas fatiguer un diagonal plus que l'autre. Après une vingtaine de minutes cette fois-ci, il me montra à nouveau des signes d'essouflement, à nouveau, je le remis au pas pendant quelques minutes. Il ne fallait pas forcer surtout pour le premier trotting. Après cinq ou dix minutes de pas, nous reprimes une dernière fois le trot, son allure devenait stable, il commencait à trouver le rythme. Mais nous arrivions à proximité de l'Ecurie de l'Eladona. Il fallut donc se remettre au pas, rênes longues. Je déssanglai d'un trou. Urbaldi, était humide et on voyait qu'il avait bien bossé, je lui flattai l'encolure. Je descendis de cheval.

"Bon travail, grand!"

Et direction le box!

Admin Nombre de messages : 314 Age : 32 Date d'inscription : 13/10/2006

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